Ce petit club où tout commença...

Je m'archais dans la nuit sur un petit chemin pavé. C'était un Vendredi soir et les rues étaient bondées de jeunes assoifés de délir, de bon temps. Le mien était déjà accompli, je m'étais repue d'une jeune vagabonde qui déambulait derrière une patisserie. Son sang m'avait semblé si voluptueux, si riche quant à cette carcaces salle qui gisait dans mes bras, immobilisée par la surprise et l'extase plus que par la douleur. Mon père m'avait appris comment rendre l'expérience agréable pour la proie. Mon terrible père ténébreux, celui qui m'avait autre fois vidé de mon sang pour me faire le don ténébreux, m'offrir le sien. Puissant vampire qu'il est, mon père. Probablement le plus puissant d'entre tous.

Oui, cela semble vanter ce qu'il est, mais ne vous détrompez pas, il est le plus puissant, celui qui peut sentir dans ses veines le sang de la reine des damnées, la toute puissante et défunte Akasha. Elle lui avait conféré des pouvoirs inimaginables, des pouvoirs qu'il m'avait transmis mais que j'étais incapable de contrôler encore.

La nuit me semblait d'une terrifiante beautée. Ses astres dévorant le ciel de leurs esquises lumières. Le jour ne me manquait pas, j'avais toujours "vécue" de nuit, comme n'importe quelle Veuve-Noire de ce nom. Enfin, semi-Veuve-Noire...

Près de moi marchait un jeune couple, bavardant de la magnifique soirée qui les attendait. Mon ouïe surnaturelle captait le moindre détail.
- Je pense que tu adoreras ta surprise, chérie, murmura le jeune homme à l'oreil de sa conquête.
- Ha oui? Pourquoi refuses-tu de me dire où nous allons! Le jeune homme ricana doucement.
-Parce que ça ne serait plus une surprise...

Doucement, je m'imissai dans son esprit par simple curiosité. Où allait-il la conduire? je faisais cela régulièrement, m'entichant de potins mortels pour satisfaire cet orgueil qui brûlait en moi depuis 67 ans.
Je vis ce dessiner dans l'esprit du jeune homme un bâtiment d'une beauté halucinante. J'avais déjà vu cette endroit, cette boîte de nuit?
Je restai pétrifiée d'horreur et de joie. C'était la boîte de nuit où j'avais fêté mes 16 années mortelles! J'avais depuis longtemps oubliée le club où mon père Lestat m'avait tranquillement attiré, et où de mes quelques dons l'avait charmé. Je me souviens du sang bouillonant dans mes veines comme jamais, de l'odeur presque imperceptible de son sang à lui. Mon dieu comme c'était lointain et près à la fois.

Je suivis donc le couple qui me guida sans mal devant la somptueuse boîte de nuit. Je regardai la longue file d'attente, de nombreux êtres surnaturelles y était, attendant leur tour. Je reconnu 7 Vampires, tous baissant les yeux à ma vue. Je vis également des elfs qui m'aurraient confondue s'ils n'avaient pas si stupidement oublié de fermer leurs pensées. Je souris à la longue file d'attente, m'approchant du "doorman"
pour lui souffler langoureusement à l'oreil de bien vouloir s'écarter de mon chemin. Son regard était interdit et admiratif, le genre de regard que seules les Veuves-Noires sucite chez les hommes. Il me laissa entrer sans me poser de questions. J'adorais manipuler les humains, c'était d'un tel régale!

La boîte de nuit était bruyante, les multitudes de lumières s'agitant dans tous les sens faisaient briller les corps en sueurs de la gigantesque piste de danse. Des escaliers menaient à un étage supérieur, une espèce de grande rampe qui entourait la piste. Là étaient disposées des tables, des sofas où un nombre incalculable de Vampire étaient instalés. Je leur souris tout simplement de ce sourir qu'avait mon père, un sourir triomphant et mesquin, brillant d'une lueur démoniaque.
J'aimais prendre la vie, j'aimais sentir se débattre mes proies. Louis me comparait à Claudia parfois, brave petite poupée Vampire.

Je m'avançai au milieu de la piste, regardant ces enveloppes charnelles se tortiller autour de moi. Ces femmes et ces hommes se blotissant les uns contre les autres...c'était tout simplement appétissant.

Voyez-vous, les Vampires ne ressentent pas ce désir sexuel que vous, humains, éprouvez. Nous ressentons plutôt un exitement de chasseur, comme les chats lorsqu'ils voient se tortiller une souris ou bien un objet quelconque. C'est pratiquement érotique comme sensation, cet envie pour le sang et la mort.

Je tentais de déceler la trace d'un compair qui me serait familier, Marius, Louis, Maharet, Mekare, Kayman, Armand ou même Daniel. Ils n'étaient pas là, aucun d'entre eux n'étaient là. J'avais supplié Maharet de m'aider à retrouver Lestat, de m'indiquer où se tairait mon pauvre père. Elle m'avait dit qu'il s'obstinait à fermer son esprit, à rester dissimuler. Je m'étais toujours demandé Pourquoi, pourquoi il s'éloifgnait toujours de moi.

"Ça ne durera qu'un instant, ma petite chérie et ensuite nous serrons ensemble pour l'éternité..."

L'éternité avait été si court!
Je décidai de monter à l'étage, la frénésie de la piste de danse me montant à la tête, réveillant mes sens les plus affutés.
Je passai entre les tables et les sofas, regardant chaque occupant avec dignité et calme. Leurs regards tentaient de me sonder, jamais ils n'y parviendraient.
Je pris place dans le seul fauteuil inoccupé de la rampe, posant mon regard sur la personne devant moi. Un sourire éclaira mes lèvres.

-Bonsoire, dis-je tout simplement.

Séran attendait patiemment en ligne du club, elle portait une tenue bien simple; Bustier bleu, jupe d'archère noire, et ses habituels long bas rigides noirs. Elle avait placé ses court cheveu vers l'arrière, ses simples oreilles pointues trahissait ses origines de veuves noir.. Personne ne savait qu'elle avait du sang lycanne. Quelle fille étant fière que sa mère fut violé par un lycan...Non elle meme l'ignorait, elle avait simplement quelque facultés lycanne, les griffes, la vue, l'ouie, et les crocs, au moins elle n'avait pas les poils, a son grand soulagement, elle ne s'était jamais changé... pour l'instant... Elle même l'ignorait de toute façons, Elle ne s’était posée aucune question jusqu'à se jour, mais lorsqu’elle avait l’agilité gracieuse d’une veuve noire, mais qu’elle semblait légère comme une plume, ainsi qu’une ouie très développée, elle avait mis ces facultés sur le dos de sa naissance et de son enseignement… Mais une appétit et une rage plus violente.. elle avait eu peur. Mais l’histoire est l’histoire elle garde ses origines caché la plupart du temps. Elle semblait perdu dans ses pensés lorsqu’ un homme étrange, hum, quelque chose par en sentir son odeur, elle ne pouvait dire la race. Séran le regarda longuement puis fini par dérocher son regard du jeune homme au cheveu moyen ébène, elle fit un léger sourire au portier puis la fit entrée.

Elle se retrouva au centre d’une piste de danse ou la musique transe battait son plein, Les plusieurs races, dansait au son endiablé en se dissimulant paraissant le plus normal, mais elle ne cherchait point cette ambiance la… elle cherchait une proie de taille… Elle était a la chasse, se nourrire? Aucunement, ses envie était apaisé depuis. Non, elle le savait bien s’était lui qu’elle cherchait, le jeune homme de tantôt, Lorsqu’il arriva derrière elle, elle l’avait senti, mais voulant rester discrète elle avait simplement attendu son souffle chaud sur sa nuque et les paroles placide qu’il allait dire :

-On danse Séran?

Elle avait fermé les yeux de rage et avait dansé avec lui, Seulement Séran et le jeune homme savait leur dispute mortelle, sinon tous aurait cru qu’ils etaient en couple et prêt a tout pour laisser libre court a leur pulsions. Leur danse lascive durait infiniment au yeux de Séran qui sentait les griffes du jeune hommes dans ses cuisses, retenant un cris de douleur elle se tourna face au jeune homme ses yeux du bleu électrique félin et montant ses mains dans le dos du jeune homme elle sortit ses griffes le griffant le long de la colonne vertébrale.

-Ne joue pas avec moi Félix, tu sais que je suis différente, et plus dangereuse que toi.

Elle lui donna un coup de pied discret et le laissa la a se plaindre et disparaître. Elle monta les escaliers lentement, la jupe volant gracieusement a chacun de ses pas lents. La louve se dirigea vers le petit bar. Elle regardait toutes les races la dévisager. Elle n’en portant aucune attention jusqu’a ce qu’elle sentie une odeur sensible a la sienne, s’arrêtant devant une jeune femmes, elle la dévisagea un moment, perdu dans des souvenir de batailles, de sanglantes veuves noires s’entraînaient. Puis revenant a la réalité elle entendit un :

-Bonsoir.

Elle répondit vaguement, ses yeux a l'ame animal.. plongé dans ceux de a la jeune veuves noire

- Bonsoir

La jeune fille devant moi me répondit d'un méfiant "Bonsoir" , m'examinant de ses yeux prédateurs. Mon sourire ne put que s'élargir d’avantage. Son esprit dégageait une espèce de bestialité, une animosité si étrangement aiguë, je n’avais que rarement vu cela chez une autre personne. Ayant la faculté de reconnaître mes semblables, je perçu l’aura noire caractéristique qui flamboyait autour de cette jeune créature qui se dressait devant moi.

Elle avait ce charme également, cette flamme grandiose de la séduction qui embrasait les âmes des Veuves-Noires. Oui, j’étais en présence d’une des survivantes sans doute, ou d’une descendante de ces merveilleuses femmes guerrières qui s’étaient entre-tuées sur ce fabuleux champ de bataille que je n’ai pas connu. Rare étaient les dernières Veuves-Noires de sang pure, elles avaient pratiquement toutes péries durant cette guerre finale.

Non seulement elle dégageait cette étrange mélange de force et de séduction, il y avait également un puissant carnassier enfermé dans cette chaire humaine.
« Une hybride » pensais-je. Ses oreilles pointues, ses canines plus grosses et plus longues. Les Veuves-Noires ne possédaient pas de pareils apparats. De ses doigts sortaient de grandes et redoutables griffes d’où dégoulinait un sang chaud…j’en percevais l’odeur unique, la délicieuse et délicate petite odeur légèrement salée…

Je sentais s’agiter en moi cette bête redoutable, le prédateur. Pourtant je m’étais sustentée de cette vagabonde…

Mes talents télépathiques me permirent de cerner légèrement sa personnalité sans trop, elle était tout de même apte à dissimuler ses pensées, elle n’était pas bête loin de là.

Les lumières colorées jouaient sur son visage comme elles jouaient sur le mien. Mon visage était encore gorgé du sang duquel je m’étais délecté, m’empourprant légèrement les joues. Un vampire repu était pratiquement pas repérable, le teint réfléchissant moins la lumière qu’à la normal, étant également beaucoup moins pâle. Mes yeux luisaient dans le noir comme ceux des animaux, caractéristique bien définis chez nous.

- Venez vous assoir, je ne vais tout de même pas vous mordre…

Mon regard était affable et calme, mes mains étaient jointes. Ma longue chevelure blanche tombait en cascade sur mes épaules, mes yeux océaniques restaient plongés dans les siens.

- Que buvez-vous? Je vous invite.

Je dissimulai tant bien que mal l’excitation que j’avais à me retrouver avec une autre Veuve-Noire, gardant impassible mon visage et mes pensées. Quelques instants je crus apercevoir derrière elle les deux yeux bleus brillant et pénétrant de Marius. Je ne ressentais pourtant pas sa présence, non, je me trompais. Ce n’était qu’un jeune homme qui m’avait aperçu et avait été saisie par ma beauté surnaturelle. Un autre jeune homme aux cheveux noirs le poussa pour se frayer un chemin en gardant son regard fixe sur la jeune Veuve-Noire devant moi. Il s’arrêta pour la contempler pendant quelques instants avant de redescendre à l’étage inférieur.

Séran rangea discrètement ses griffes, puis ses crocs se diminuèrent pour ne former que de simples dents, par chance sont volume musculaire restait le même et elle ne doublait pas de taille, elle gardait en tout temps une taille fine et gracieuse, mais qui trompait sa force, sa peau elle était un léger gris, qui semblait terne dans la pénombre ambiante. Elle restait la a regarder la jeune veuve noire, sondant son visage.. elle lui disait quelque chose mais semblait trop jeune pour qu’elle l’ai connue, oui, une de ses descendante, oui… Abigail.. une de ses amies proche, elle se souvenait qu’elles s’entraînaient ensembles, les meilleures combattantes… pendant un moment cela lui rappela des souvenirs, certains atroce, d’un combat inconnu, elle qui se faisait enfermé, le meurtre de maya, une de ses amie, sa fuite, elle n’avait vu Abigail depuis ce jour…. Et maintenant elle cherchait des réponses a son attitude animal, elle est a sa recherche depuis le début, Félix l’aurait mener a lui.. mais cela faisait des lustres. Elle ressenti la présence de Félix derrière elle mais ne fit rien, elle le retrouverait plus tard… Elle revint donc de nombreux souvenir dans une légère moue de la tête, protocole de veuves noire s’adressant a une autre puis s’assit finalement.

-Les veuves noires ne mordrent pas… souvent, mais une demi vampire comme vous qui semblez repu, et moi une supérieure, je n’ait aucunement peur. Elle fit un léger rire voyant une lueur d’interrogation venir aux yeux de la jeune. Facile a reconnaître les odeurs pour moi.

Elle mis ses mains sur la table, voyant la question du fameux breuvage,

-Un de ces coolers fluorescents serait de circonstance, elle regarda la salle plus bas, après tout, les boites de nuits aiment le fluo non?

Elle revint sérieuse,

-Alors fille d’Abigail, que faites vous en territoires mixte? Une chasse quelconque?


Comme il était protocolaire d’appeler les descendantes d’une personne importante « fille », même s’il s’agissait de petite fille ou de petite petite fille ainsi de suite, Séran suivait a la lettre les règles du clan qui l’avait abandonnée, pourquoi ? simplement par vengeance, elle prouverait aux veuves noires qu’elle pouvait être comme elles. Mais personne ne pouvait nommé ses descendantes fille de Séran, elle avait aucune descendantes, aucun hommes dans sa vie, mis a part Félix qui la côtoie depuis belle lurette, et qu’elle avait refusé ses avances, pour se consacrer a des valeurs plus importantes pour elle. Bien qu’elle avait souvent abusé de la situation a ses dépend et jouer avec Félix, son attirance pour lui ne faisait que grandir mais elle le cachait tant bien que mal, mais il s’agissait la de problèmes personnels, Séran regarda la jeune veuve noire.

-Quel est votre nom ?

Je restai impassible souriant simplement. Cette femme connaissait ma grand-mère. Soite. Je croisai les bras lentements, me calant confortablement dans mon fauteuil. Les serveuses déambulaient autour de nous, des plateaux chargés sur chaques mains. Une d'elle passa près de moi, je saisis alors un verre d'Absynthe, alcool d'un vert fluorescent normalement interdit. Je le posai devant elle, reprenant ma posture fière.

- Une supérieure dites-vous?

Elle prit son verre et en observa la mixture. Cet boisson avait un taux d'alcool supérieur à la moyenne, don la raison pourquoi il était illégale.

- Quel est votre nom ? me demanda-t-elle.

Je ne su réprimander un éclat de rire. Je baissai la tête quelques instants avant de la reposer sur la jeune femme devant moi.

- Je m'appelle Abigail.

Séran fit une légère révérence de la tete, lorsqu'elle entendi Abigail prononcer la question des suppérieures. Elle pris un verre d'Absynthe, l'observa un moment puis le cala d'une gorgée sans faire de cas du taux d'alcohol élevé. Lorsqu'elle déposa le verre sur la table elle croisa les jambes puis aquiésa de la tete.

- oui, une suppérieure, Bah enfin pour une femme de 200 ans je suis assez suppérieure. J'ai connus ta grand mère, une amie très proche, tu a dut entendre parler de moi? Séran... Fille de Zepar, morte a ma naissance, me laissant comme cadeau une rage que j'ignore la provenance.

Séran vit une serveuse passer non loin de la et pris au vol un autre verre du liquide d'un fluorescent non invitant et le calla aussi rapidement que le premier.

Je plissai des yeux. Ma grand-mère avait périe sur le champs de bataille finale qui avait opposé les Blacksouls, les MortalKiss ainsi qu'un autre clan qui ne me revenait pas en mémoire. Enfin, les trois clans en puissance. Ma mère était encore trop jeune pour participer à la bataille finale. Il fallait avoir au moins 80 ans et elle n'en avait que 40. Elle avait donc survécue sans réelle pouvoir car ma grand-mère n'avait sû se trouver un géniteur Veuve-Noire. Ils étaient d'une rareté! Elle avait donc fini par avoir un enfant avec un simple mortel, donnant à ma mère d'ingrats cheveux noires et des yeux charbons. Aucus pouvoirs, pauvre mère. Elle avait toujours été terrifiée de me savoir en possèsion de minime pouvoirs.

- Oui, vous devez être effectivement une supérieure si vous le prennez ainsi. C'est tout de même dômage qu'il y ai eu sur ce champs de batailles des Veuves-Noires de près de 800 ans, anéantie en moins de 2 jours.

Elle cala un second verre d'Absynthe et puis posa son regard à nouveau sur moi.

Séran se remémora la grande bataille, peut-etre était-ce elle qui l'avait rendu anragée, de eprdre des consoeurs?... Non impossible elle était née avec cette rage, une rage bestiale encore plus violente qu'une veuve noire combattante. Elle eu un regard vague par rapport aux mortes durant cette bataille.

- Oui, quel dommage, toute mes soeurs, et mes suppérieures a moi, mortes sauvagement sur le champs de battaille. Je me souviens des cris de rage, des cris d'agonies, une cacophonie lointaine qui me hante encore, c'est une douleur insuportable.

Elle semblait se perdre dans des pensées enfouie lointaine mais gardait un pied sur terre.. Elle se souvenait la douleur, elle en avait gardé une marque, une cicatrice dans le dos. près de l'aile droite, qui lui a pratiquement valu cette aile.

- Cette bagarre a failli me couté une aile. Il était moins une... Mais quelle dommage, les vétérantes combattantes en moins de deux jours.

Elle Fini par oublié ces horreur et fini par afficher un léger sourrie, rien n'était plus reposant qu'une bonne bataille sanglante pour Séran.

Je baissai légèrement la tête pour rendre un petit hommage à ces guerrières sanguinaires. Seran se passa la main dans le dos, sur sa cicatrice.

- Vous aviez prise votre apparence d'Ancine sur le champs? Ça à dû être risquer, surtout que l'on perd de l'énergie à vu d'oeil sous cette forme.

Je jetai un coup d'oei furtif à ma droite, le jeune homme aux cheveux noirs venait de repasser.

- C'est le stade le plus difficile à maîtriser, le quatrième stade de l'Ancine. Il faut avoir environ 150 ans pour le contrôler à cent pourcent. Je ne saurai jamais ce que ça fait, je suis morte à 16 ans sous les crocs d'un Vampire, perdant la possibilité de vivre un jour l'expérience. J'ai perdu la totalité de mes pouvoirs de cette triste manière.

Oui, les Veuves-Noires avaient quatre stades de transformation. Le premier ne faisait qu'accentuer les crocs, faisant pousser de petites cornes sur la tête ainsi que faisant pâlir la peau et noircir les lèvres. Le deuxième stade venait avec un aura perceptible à tout autre créature, de grands voiles noires et mauves s'agitant autour d'elles. Les cornes devenaient plus longues ainsi que les griffes et les crocs. Le troisième stade la Veuve-Noire avait la gueule qui s'alongeait légèrement et au quatrième, le stade de la créature appellée Ancine la Veuve-Noire ressemblait entièrement à une sorte de grand dragon ailé. Ces bêtes avaient la possibilité de cracher un feu violet sur une distance de plus de 50 mètres, incroyable!

Séran eu un sourire malicieux, mais qui fada lorsque Félix, le moins subtilement du monde repassa a coté d'elles. Séran se souvenait de quelques anciennes qui avaient atteint le stade quatre, mais elle n'avait atteint que le troisième stade, elle avait eut sa blessure avant de pouvcoir atteindre le quatrième...

- Non malheureusement on ma blessé avant que j'atteigne le stade quatre, je n'ais eu aucune autre occasion d'utilisé mon pouvoir après. Mais la sensation est des plus engourdissante, une extase magnifique, la rage qui nous habite est tellement grande, dommage pour toi que tu ne pourrait jamais expérimenté cette expérience, mais elle est très dangereuse, donc meme pour moi elle fut douloureuse, surtout pour la machoire haha,

Séran se frotta la machoire mimant une expression de douleur. Elle gardait un souvenir amer du stade deux... Et des commentaires et rumeurs a son sujet. Elle avait tant passé d'un niveau a l'autre en un eclaire a chaque coup mortel qu'elle donnait, ses cros et ses oreilels, démontrait aux autres un secret que sa mère a caché jusqu'a son dernier souffle...

- C'est atroce, au deuxième stade mes crocs était déja trop grand puor moi.. Je n'ai jamais su pourquoi. On m'a déja traité de sang de loup, mais du plus loin que je me souvienne on m'a toujours dit que mon père était un simple mortel.

J’écoutai avec une attention particulière chacune des paroles dites par Séran. Mes ténébreux dons vampiriques me permettaient de percevoir des images dans son esprit. Du sang, des épées, des cris. Je la voyais elle courant sur la terre noircie du sang noir des Veuves-Noires, enjambant dans sa course les corps effondrés de ces sanguinaires beautés. Derrière elle voltigeaient ses longs cheveux tachés de sang, son regard bestial aussi tranchant que la lame affutée de son épée. Je voyais ses crocs, énormes pour le stade qu’elle venait de franchir. Elle avait raison, et les autres aussi. Je pouvais sentir l’odeur futile des Veuves-Noires, un musc élégant de force et de douceur, aphrodisiaque mélange. Mais sous cette odeur, je pouvais humer la bête, l’odeur du tueur.

- Et bien malheureusement pour vous je crois qu’ils aient raison. Vous ne dégagez pas seulement une odeur féminine des plus accentuées comme les Veuves-Noires en dégagent, vous sentez l’animal, la rage, pour tout résumer en un mot, le prédateur. Effectivement vos crocs sont beaucoup trop grands pour être ceux d’une simple Veuve-Noire. Vous devriez être heureuse, vous êtes là le plus dangereux mélange que j’eus croisé dans ma vie. L’Ancine que vous êtes doit être tout à fait redoutable, j’en conviens!

Oui, une Veuve-Noire Loup-garou, quelle magnifique et terrifiante hybride qu’elle était! Sûrement pour cela qu’elle avait survécue à ce massacre. L’animal à cet instinct de survie qu’aucune autre créature n’a en ce monde. Surtout le loup.

Séran haussa les épaules, elle savaient qu'elle était différentes que les autres mais n'avait jamais su pourquoi, et c'est surment Félix qui va l'aider, lui qui semble si anormalement attaché et attiré par une veuve noire... Un Lycan normal serait quand meme immunisé contre son charme, quoique il était pratique, très fidel et sensiblement pareil a elle...


-Oui je l'avoue jai toujours été différente, plus dangereuse a ce que l'on dit, mais on ma toujours caché les origine de mon père. Et c'est justement a leur recherche que je suis, Je le saurais quand je le trouverai, haha, après tout c'est une de mes qualité d'avoir du flaire.

Elle mis ses bras sur les accoudoires puis formant un appuis avec ses mains y déposant son menton, plongeant son regard dans celui d'Abigail Elle observait ses traits, un peu plus fin que les siens Séran ressemblait plutot a un mince bout de femme un peu trop impulsive, ses nombreux petit tics nerveux en disant long sur son passé violent de combattante, et de rejet, passer sa vie a marcher errante a la recherche de quelque chose, quelqu'un.

- Alors, parlez moi de vous, Il y a longtemps vous avez quittés le clan?

Je souriais, une question intéressante. Je croisai les jambes alors que je gardais mon regard plongé dans celui de Séran.

- Je ne sais même pas s’il reste véritablement de clan. J’ai quitté la Sibérie voilà peut-être une cinquantaine d’années au moins. Le clan ne s’est jamais totalement reconstitué, les pertes étant beaucoup trop grandes. Les quelques survivantes restantes ne s’aventurent pas au dehors du château. Elles préfèrent s’y cloitre, elles sont convaincues qu’elles mourront à l’extérieur. C’est peut-être pour cela que je suis partie à mes 16 ans. Je détestais cette atmosphère stagnante. Et puis, à mon retour je n’étais plus la même pour elles.

Je marquai une pose, prenant mon souffle et décroisai les jambes.

- Disons qu’elles m’ont tout simplement écartée, j’étais une toute autre race, je ne possède plus mes petits talents Veuve-Noire. Alors je suis partie, sans réellement regretter ce qui me glissait sous les doigts. Ô, je ne suis pas restée seule, je ne l’étais pas lorsque je suis retournée au château du nord. Mon père ténébreux était à mes côtés, bien que maintenant je le recherche au travers du globe. Les anciens me disent qu’il se cache sans aucune raison apparente. Mais je le retrouverais malgré tout, ce Vampire m’a donné une vie incroyable en me l’enlevant.
Je replaçai une mèche de neige qui s’était délogée de derrière mon oreille pour venir se balancer devant mes yeux

Séran écoutait son récit attentivement, en aquiésant vaguement, son apparence différait de son écoute attenvie et alerte. Elle buvait les paroles de la jeune Abigail lentement. Son récit semblait familier a Séran sauf qu'elle s'était depuis sa naissance qu'elle avait souffert des méprises des veuves noires. séran s'était démenée pour survivre dans la communaité des autres, et s'était vite fait amie avec la grand mère de clele qui se tenait devant elle, c'était tout, aucune ne voulait s'approcher d'elle, meme au champs de bataille, elle devait tuer le double d'ennemis vu qu'elle restait en solo et on la croyait vulnérable, une grave erreure de ses ennemis qui se trovuait souvent au bout de son naginata transpercés. Elle passa une main dans ses court cheveux les lissant un peu.

- Interessant, Moi c'est depuis ma naissance ses percécutions, c'est une raison de mon départ. Mais vous auriez surment aimé mon époque, les batailles, les entrainement au plein air.. Une vie d'action quoi.

Elle sourit a l'idée de ses nombreux combats amicaux avec Abigail l'ancienne... Et de ses nobmreux reproches a propos de ses cheveux trop court.

- Mes cheveux sont aussi une forme de ma rebeillion face au clan, une rebellion face a ma mère, elle est morte a ma naissance, et on me disait je lui ressemblait trop, hop adieu longue tignasse d'ébène, c'est plus pratique les cheveux court de toute facon sur les champs de bataille, meme si il y avait toujours votre grand-mère pour me faire des remarques...

Séran ria légèrement aux souvenir de la complicité qu'elle et Abigail avaient, en tant qu'amies mais aussi que combattantes.

- Mais dites moi, je l'ais sentit votre différence, Je vois que nos quetes respectives sont assez semblable.

Le baissai la tête légèrement avant de reporter mon regard sur elle. Un large sourir au lèvres.

- Pour ma part je ne dirais pas percécutions, plutôt amusement. Les autres ne m'ont jamais atteinds, je ne souffre pas de ne plus voirs ces Veuves-Noires où bien de savoir ma mère enfermée dans une hospice pour vieux dans un quelconde endroit miteux. Les autres, je m'en fou. Il a toujours été question de moi et de moi seule. Cela ne veut pas dire que je portes pas attentions à vos propos et y trouve désolant le fait de toujours se sentire exclue, n'en doutez pas je trouve ça réelllement touchant. Sinon, c'est vrai que les cheveux courts ont dû déplair aux autres Veuves-Noires

Mes yeux s'éclaircirent de malice

- Ça devait être palpitant, se rebeller contre ces charcutries mouvantes.

Mon visage reprit son apparence de calme plat et d'impassibilité. Je tenais cela du sang dans mes veines.

Puis, elle se poursuivit ses propos.

-Mais dites moi, je l'ais sentit votre différence, Je vois que nos quetes respectives sont assez semblable.

Je riais doucement, elle avait raison. Son visage brillait sous l'éclairage tamisé.

- Certes oui, vous avez raison. Je recherche mon père vampirique et vous votre père biologique. Nous n'avons pas que cela en commun, nous sommes toutes deux un mélange assez surprenant de races.

Je regardai ma main posée sur mon genou. Comme elle était d'une pâleur morbide!

Séran rit en regardant les mèches courtes du coin de l'oeil, les veuves noires avaient plutot mal réagis selon ses souvenirs, elle la traitaient de rebelle et meme une avait voulu l'attaquer, mais malgré tout les effort aucun n'avait su lui tenir tete, toute s'étaient épuisées contre la jeune Séran. C'était la son seule atout, sa plus grande force agilité et ses sens encore doublement développés que ceux des veues noires ordinaires, Séran pouvait pratiquement prédire le mouvement de son adversaire, ce qui la rendait plutot coriace au combat.

- Oui, me rebeller contre un tas de femmes, ces "charcutries mouvantes" comme vous les applés, était un delice d'action, un peu de combat par ci par la, si une voulait me bannir, on avait total respect sur moi, mais par la nombres un jours elle m'ont enfermés, je me suis enfuie et me voila maintenant après maintes petites aventures

Séran observait le mélange que Abigail formait devant elle, qui est un magnifique mélange, toute la sensualité des veuves noires aditionner a celui des vampire, le meme mystère qui planent sur eux et la férocité des veuves nories, ou voila devant Séran un spécimen tout a fait splandide, elle pour sa part, n'était que le fruit d'un viol, mais d'un très beau viol, qui porte le nom de Séran, beauté ténébreuse, animal, une vangeresse des plus sage mais quipossède l'instinct le plus brulant, une férocité sans égale, une batarde des plus dangereuse....

Je regardai la piste de danse, les danseurs s'entassaient les uns contre les autres, le nombre avait doublé. Les Vampires installés autour de nous nous jetaient des regards défiant, mieux valait quitter cet endroit.

Non, pas par peur. Seulement que lorsque j'avais l'occasion d'éviter une catastrophe, je l'évitais. Ces vampires-là semblaient être plus vieux que moi. Ce n'est pas que Séran ne fut pas assée forte, c'est tout simplement que le nombre aurait eu raison de nous.

- Peut-être devrions-nous poursuivre notre trépidante conversation autre part, l'hostilité croit ici...

C'est vrai, j'étais encore une bien jeune Vampire. Que 67 ans. Normalement les anciens les pourchaissaient jusqu'à extermination, redoutant une nouvelle vague de jeune. Ils ne voulaient pas que notre race prolifèrent. Par crainte de se faire surpasser ou par simple peur des ténèbres. Bref.

Bien que j'eux comme mantor et protecteur les Vampires du premier sang, les autres eux voulait ma peau.
Derrière nous trônait un Vampire de 800 ans, je sentais son regard sur ma nuque. Nous pouvions découvrire l'âge de nos compaire par le dégagement psychique que ce dernier pouvait dégager. J'avais peut-être le sang d'Akasha dans mes veines, je n'en connaissais que trop peu tous les secrets.

-...venez, il faut partir maintenant.

Je me levai et de mon pas lent et sûr, je me rendis jusqu'à l'escalier.

" Et surtout ne provoquez aucun d'entre-eux, lui dis-je par mes talents psychiques. Je ne vous sous-estime pas, mais croyez moi vaut mieux s'en aller"

Je savais être brave quand je me battais mais je savais également être sage quand il le fallait.

Séran vait remarqué subtilement du coin de l'oeil le nombres grandissant de regards sur elles. Le nombre était amusant, mais elle suivit le conseil d'Abigail. Mieux ne fallait pas trop attirer l'attention car cela étonnerrait Séran que nombreux soit contents d'avoir a faire a une veuves noires un peu spécial. Et elle tenait a sa machoire, elle ne voulait pas encore se faire mal du a la grandeur des crocs. Séran le leva donc a la suite d'Abigail, sa longue jupe d'archère volant au passage ses mouvements lents et d'une grace mystérieuse tant aux traits animal qu'a ceux de la veuves noire. Elles déscendirent donc les escaliers menant a la piste de danse, bondée les deux jeune femmes sortir avec difficulté dans la nuit fraiche. Séran avait guidé la jeune Abigail a sa suite vers la sortie arrière. Rendu a l'extérieur une jeune homme sauta sur Séran qui eut aucune difficulté a le plaquer au mur. Elle soupira face au jeunot au large sourire éclairant son visage. Les cheveux noir a peu près de la longueur de Séran. Elle fini par dire:

- Abigail je te présente Félix... Un espece de fouineur impertinant..

Le sourire de Félix fada au meme moment une une plainte enfentine sortir des ses lèvres...

- Ah oui, et très enfantin.

Elle sourit a Félix, d'un air provocateur et en le relachant elle regarda Abigail. Félix fit une révérence au total désespoire de Séran qui déplorait les manières stupides de Félix.

[color:78b2=orange:78b2]Enchanté mademoiselle. Mon nom est Félix, et ne croyez pas ce que la dame dit, je ne suis pas impertinant et enfantin.

Félix fit une grimace a Séran qui le bouscula.

-[/color=blue] Alors ou allons nous Abigail?

Je regardais le visage juvénile du jeune homme que Séran avait plaqué au mur. Elle me le présenta, Félix. Le jeune homme avait l’air terrifié, je le comprenais. Après tout, avec Séran, les yeux brillants de fougues qui l’empoignait férocement et moi, avec la surnaturelle beauté Vampirique mêlée avec le présage de mort, je pouvais sentir l’odeur de la peur émaner de lui. J’esquivai un sourire, cela ne m’amusait que trop. Je jetai un regard à son cou dénudé, sa veine palpitait sous sa chaire… j’entendais le tambourinement de son cœur affolé.

- Abigail je te présente Félix... Un espèce de fouineur impertinent..

Le jeune homme gémissait doucement, j’étais amusée! Il se dégagea de l’emprise de Séran, replaça ses habits et fit une révérence. Mon visage était impassible, indifférent. Mes yeux devaient reluire de malice, le voir remuer ainsi me faisait pensé à une petite sourie qui ignorait totalement qu’elle était en présence d’un chat.

- Enchanté mademoiselle. Mon nom est Félix, et ne croyez pas ce que la dame dit, je ne suis pas impertinent et enfantin.

Je ne pris pas la peine de répondre tout de suite.

- Oui, pareillement pour moi.

Puis, j’entendis Séran me demander où aller. Je me retournai d’un coup sec, le Vampire âgé s’était levé.

« Fille de Lestat… »

Je restai quelques instants dans le silence.

- D’accord, premièrement je sais que Séran peut bloquer ses pensées, est-ce que vous le pouvez Félix? Sinon votre vie court un grand danger.

Je fixais le jeune homme.

- Il nous faut un endroit surélevé, je sais que ce Vampire ne vole pas. Je vole que grâce au sang qu’il m’a été transmis par mon père. Séran, je crois sincèrement que vous êtes une grande combattante, mais je tiens à vous avertir tout de suite que vous battre contre des Vampires âgés est pareil à se battre contre une statue. Nous sommes des êtres morts, nos forces n’ont pratiquement aucune limite. Elles en ont, comme n’importe qui, mais elles sont infimes. Peut-être l’Ancine pourrait le maîtriser, mais seul le soleil nous tu, l’histoire du pieux n’ai que fadaise, enfin pour nous autres.

J’attendais une réponse. Si ils pouvaient voler alors nous serions tirer d’ennuis. J’aurais peut-être su le maîtriser, mais j’en doutais fortement.

Séran roula de syeux, d'aucune facon le petut Félix alali commencer son numéro de séduction et le test de la jalousie de Séran. Il savait qu'elle était impassible mais a un pooint les déboire de Félix la désesperait toujours. Alors Lorsqu'elle vit le regard Amusé d'Abigail regardant Félix elle fit un non de la tete. Ele pensa, Il n'est bon puor personne alors pour elle il va la rendre dingue, deja uqe je suis sur le bord de trucidé ce Félix... En sentant une présence arriver puis une phrase Séran se mis sur ses agrdes, de meme pour Félix. Celu ici d'un naturel blaguer revenait a son sérieux en un clin d'oeil. Il lacha sur un ton de grognement:

C'est qui?

S♪0ran lui répondit sur le meme jappement les crocs et griffes sortit. Elle regarda Abigail qui leur proposait de voler pour Partir, mais comment un lycan comme Félix pouvait voler. Elle secoua la tete puis réfléchuie rapidement.

-Pas le temps Félix, tes petits jeu de louloups pour plus tard on part...

Elle déploya ses ailes puis empogna Félix, et s'envola a la suite d'Abigail qui prenait son envol aussi.

Je n’avais pas songé à sonder l’esprit du garçon Félix, j’aurais sûrement deviné qu’il était un lycanthrope. Non, mes forces étaient toutes dirigées contre ce Vampire. Il s’appelait Nécate, je n’avais encore jamais entendu parler de lui. Il me montrait des images de cavaliers chevauchant dans la nuit, flambeau à la main. Ils se dirigeaient vers une tour…je ne la reconnaissais pas. Il criait en latin, donnant ses ordres au Vampire qui se tenait près de lui. Le gigantesque phalanstère était dirigé par un Vampire sur un étalon noir, une bête magnifique. Je reconnu cette tête châtaine, c’était Armand.

Je fus alors violemment éjectée de ses pensées, mon regard tourné vers Séran et Félix.
Séran avait sortie ses ailes, elle était à son stade trois. Magnifique, c’était mon stade préféré.

Il fallait se dépêcher. Je fermai les yeux et m’élevai tranquillement en l’air. Je sentis les bruissements d’ailes de Séran et les cris de réticences de Félix. Elle l’avait agrippé, brillante idée.

Nous survolâmes le club, fendant le ciel comme des flèches. L’envergure des ailes de Séran était impressionnante, elle volait avec grâce à mes côtés. Félix s’accrochait à elle, probablement terrifié de la hauteur que nous atteignions.

Je sentais que nous nous éloignions de ce maudit Vampire. Il n’apporterait rien de bon, j’en étais certaine. Il avait même ce côté qui m’étais inconnu, que j’avais ressenti lorsque j’avais croisé les yeux de ces démons appelés « Vampires » par les villageois des environs. Des êtres certes s’abreuvant de sangs, mais n’aillant en rien nos traits ni notre mentalité. Ils étaient vivants, ils coïtaient et se reproduisaient de façon biologique. Nous, nos corps étaient morts, bien morts.

Je me retournai vers Séran, la lumière des étoiles et de la lune jouait sur son visage. Félix semblait frissonner, je lui jetai un regard sournois.

Un vampire ou une Veuve-Noire n’a normalement d’empathie ou d’amitié qu’avec un semblable. Et il était en rien un de mes semblables.

- Séran, te fatigues-tu? Nous pourrions peut-être arrêter dans un refuge à moi, encore à une heure de vole. Si tu as une meilleur idée, fait m’en part.

Séran retenait Félix du mieux qu'elle puovait mais ce sot ne voulait par rester tranquille et elle se démenait pour le garder calme, elle avait maintes fois essayé de le frapper ou de lui faire des menaces qu'elle allai le retenir par les pieds. Il s'était vite calmé de ses grognement de colèes, il aimait se battre pour prouver sa veleur, un homme quioi... Mai cette attitude n'était pas la bonne pour le moment, il avait protesté, chigné et a la fin boudé, bras croisé suspendu dans le vie avec Séran qui le retenait. Elle avait regarder droit devant elle un long moment, a sentir frissoner Félix dans ses bras. Et fini par diresans meme le regarder.

T'est un lycan, tranforme toi a moitié, des poils pour te réchauffer Crétin!


Elle avait dit cela sarcastiquement en soupirant a voir la mine déconfite et encore plus boudeuse du prince charmant qu'elle tenait, qui n'avait rien de charmant en ce moment, petit louloup pris dans les bras de la veuve noire a boudé comme un bébé Il fit apparaitre une fourrure d'un noir jais et regarda Séran en ne frissonnant plus.

Merci maman!

Et il se teint silencieux le reste do voyage, s♪0ran répondit a la question d'Agibail rapidement.

Oui ce serai une bonne idée, avec le louloup impatient ici, il commence a peser lourd. Je te suis, vu que monsieur ne décide de rien on va avec toi

Séran rit en parlant très sacrastiquement de Félix qui ne pouvait rien faire. Mais il allait lui faire payer, un jour ou l'autre quand il sera assez fort.

Nous avions atteind la haute altitude, nous survolions les nuages qui avaient une couleur nacrés sous les rayons de lune. J’activai ma vision surnaturelle, repérant cette vieille tour à semi-grugée par le temps qui se dressait dans la pénombre de l’ouest.

- Il y a cette tour, là devant, je ne sais pas si tu peux la voir. C’est une tour abandonnée, pratiquement entièrement détruite. Sauf que les fondations tiennent toujours, nous y avons aménagé un véritable petit palais souterrain.

Je voyais que le poids de Félix lui donnait du fil à retordre pour garder notre altitude, je décidai donc de l’entraîner à ma suite.

Je me laissais tomber tranquillement dans les nuages, sentant les gouttes d’eau me givrer le visage.



[Hors Jeu: Je poursuis l'histoire dans ''La tour de l'ouest" juste en dessous du club]