Le souterrain secret de la tour de l'ouest [suite du club]

Le temps passa beaucoup plus vite que prévue et nous arrivâmes enfin à la grande tour de pierres noires. Elle déposa Félix à la hâte, son expression lasse me fit rire.

J’entrai par le portail de granite totalement recouvert de plantes grimpantes. Deux magnifiques dragons sculptés gardaient l’endroit, des incantations ornant les colliers qui pendaient à leurs cous.

- Ne vous avisez même pas de les regarder, dis-je à Félix qui s’en était goulument approché. Ces bijoux sont ensorcelés, bien que magnifique. Ce qui est beau est souvent mortel, je croyais pourtant que vous aviez compris cela en côtoyant Séran.

Je lui envoyai un petit regard furtif, un large sourire démoniaque aux lèvres.

- Bien, entrons.

Je m’agenouillai près du sol poussiéreux. La terre avait été retournée, quelqu’un était venu récemment. Je fermai les yeux, activant les verrous de la trappe. Elle s’ouvrit lentement, révélant une lumière chaude. Une bougie brûlait. Les gonds de cuivre grinçaient légèrement. Je fis signe à Séran et à son compagnons de me suivre.

Nous descendîmes la petite échelle pour arriver dans un endroit d’une beauté étonnante, moi-même je me surprenais à toujours rester sans le souffle en arrivant ici. Les murs étaient d’un rouge sang, les moulures du plafond étaient dorées, la pièce avait été décoré avec des meubles de style Empire, croisement entre les dieux Grecs et les dieux Égyptiens. Un immense lit ovale trônait au milieu de la pièce, la literie étant de satin et de soie rouge, tout autour pendaient de grands voiles d’un jaune orangé. Près de l’échelle, une table ronde aux motifs égyptiens était entourée de cinq chaises de style Empire également.

- Installez-vous. Vous pourez dormir ici, partagez-vous le lit. Moi j'irai dans la pièce d'acôté.

Je traversai l’endroit, ouvrant dans le mur une petite porte cachée, celle qu’avait fait emménager Marius pour être certain que personnes ne le découvre dans la journée. Je restai bouche bée, Lestat y était allongé.

Séran avait suivit Abigail dans la tour avec Félix sur les talons. Il n'avait cesser de jacasser sur le fait qu'il avait mal au bras ou que la déco craignait dans le corridor duquel ils marchaient. Séran avait plusieurs fois faits des menaces a Félix qui répondait avec des frissons et un sourire, au grand désespoire de Séran qui n'avait plus de solution pour le faire taire. Monsieur le blagueur tournait autour a faire des remarque qui ne fesait aucun sens. Ou il s'amusait royalement a la draguer d'une manière des plus non subtile et qui exaspérait. Lorsqu'elle en fut tannée elle l'attrapa par les bras et lui plaqua les 2 poignet dans le bas du dos, le tenant d'une main elle fini par dire;

- On aurait pas pu laissez ce Lycan miteux labas tout seul, il commence a me tapper sur les nerfs, je le jsute je vais le battre!

Un peu plus tard ils arrivèrent au sous sol dans un mangifique petit appartement luxueux au meubles ayant l'air d'un croiseement, la moitié d'entre eux de Grèce, les autres d'égypte. Félix attiré par tout ce qui a de brillant fut obligé d'etre pratiquement tenu en laisse par Séran qui le tenait par la ceinture de son pantalon.

Lorssque Abigail proposa que Félix reste Avec S♪0ran celle ci voulu protester mais n'eut aucune chance elle se retrouva vite seule avec Félix qui déja assis sur le lit lui disait une pointe de grognement doux dans la voix:

Aller vient ma belle je suis jsute ici.

Séran roula des yeux arrivant de l'autre coté du lit, elle pris un oreiller de trop qui trainait et lui jeta a la figure. Fglix attaqué par la piece de tissu tomba a la renverse perdant la moitier de son souffle au meme moment.. Séran regarda la porte close, elle y sentait quelque chose, mais en meme temps rien.Bizzare... Mais lorsque Félix arriva pour lui masser le dos elle pris les nerfs. Elle le plaqua sur le lit, lui souriant. Il la rendait folle.

Oh toi! tu va me le payer!

Je le regardais sans bouger, sans réagir. Derrière moi j’entendais Séran qui repoussait Félix.

Je lui avais répondu distraitement
« Nous l’avons emmené avec nous pour qu’il nous serve de repas dès le couché du soleil. »
Je me rapprochais de mon doux prince ténébreux. Ses cheveux boudinés tombaient gracieusement sur ses épaules, son visage blanc et immobile était celui d’un ange.
Je pouvais voir la faible lueur de la chandelle de la pièce voisine faire reluire sa peau de reflets nacrés. Dieu de la nuit, mon père immortel!

Je vain m’asseoir sur le petit lit de satin sur lequel il était étendu. Ma main glacée vain lui caresser la joue, j’avais toujours été en proie à sa beauté démoniaque.

Soudainement, il se redressa et m’agrippa fermement le bras. Je ne pu m’empêcher de sourire. Les Vampires avaient de féroces réflexes, surtout pendant leur sommeil diurne.
Ses yeux bleus sondaient mon visage lisse, aussi blanc que le sien. Je tentai de m’immiscer dans son esprit, rien. J’avais toujours été profondément frustrée de ne pas réussir à lire ses pensées. Il m’avait mainte fois expliqué qu’un géniteur surnaturel ne pouvait en aucun cas communiquer par pensée avec sa progéniture de sang, ça avait toujours été ainsi. C’est pour cela que je n’arrivais pas à le retrouver, si près fut-il.
Sa surprise et son ravissement m’émurent. Il déposa ses doigts sur mes lèvres, son regard se mouilla de larmes de sangs.

- J’ai si souvent rêvé de toi, me dit-il en un souffle. J’aurais voulu t’avertir, te dire que je partais, mais ça n’aurait été que mauvais pour toi.

Son regard se transfigura en stupeur soudaine, son sourire radieux en grimace. Il éloigna sa main de mon visage, je m’approchai pour le prendre contre moi.

-Non! Hurla-t-il. Non ne t’approche pas, il ne faut pas!

- Pourquoi! Explique moi Lestat, que t’arrive-t-il! Comment as-tu pu cavaler 50 ans sans moi! Je t’ai recherché au travers le globe Lestat, comment peux-tu maintenant, à cet instant précis me repousser?

Une larme couleur vermeille sillonna sa joue. Je me rendis soudainement compte que ses habits étaient en lambeau.

-...que t’est-il arrivé?

- Écoute, va-t-en avec tes amis mortels, il ne faut absolument pas qu’ils te voient avec moi tu entends?

Je protestai vivement mais il me saisit violemment par les épaules. Son étreinte était ferme, plus étroite qu’un étau de fer

- Mais pourquoi…

- Pars je te dis! Sinon ils s’en prendront à toi. Pourquoi crois-tu que ni toi, ni Louis et ni Marius n’êtes au courant de mes déplacements? Ils en sont après moi, c’est mon sang qu’ils veulent! Il y a une multitude d’autre démons Abigail, des démons qui dépassent notre imagination. Ils sortent de l’enfer même, je n’y croyais pas avant. L’enfer existe, Lucifer existe je l’ai vu de mes propres yeux!
Mon visage de crispa.

- Mais qui t’en veut!

- …les autres Vampires.

Son regard était fou, sa lèvre tremblait. Je n’avais jamais vu un Vampire aussi égaré, aussi hystérique. Jamais de ma vie d’immortelle. Soudainement, je le vis tirer l’oreille.

J’étais convaincue que Séran et Félix avait tout entendu même s’il chuchotait du mieux qu’il pouvait.

Une petet guerre survenait depuis quelques minutes entre Féix et Séran. Les deux ayant du sang lycan, un pure, l'autre plutot veuves noire, c'est Séran qui battait a pleine couture Félix. Il se retrouvait toujours dessous Séran qui le enjou avec ses dents, tenant ses poignets au dessus de sa tete. Mais au grand désespoire Félix aimait ca... Les lycans avaient toujours eut un penchant pour le brutale, Mais qu'IlS auraient été brutaux. Pas se faire brutalisé. Alors que Félix riait aux éclat devant la mine déconfite de Séran elle lui appliqua une main violente sur le bouche en fesant un signe de se taire. Son expression changea lui aussi avait entendu la conversation de l'autre coté. Il chuchotèrent puovr bien entendre mais ne voulait pas trop s'imisser. Séran avait compris que quelques bribes confuse d'un homme et d'Abigail qui semblait confuse. L'homme disait:

...J’ai si souvent rêvé de toi...

Et abigail:

...Pourquoi! Explique moi Lestat...

Félix s'était levé pour aller entendre de plus près Séran plus rapide que lui avait bondit du lit et s'était plantée devant lui Lorsqu'il avait voulu passé elle lui ascenna un coup violent et il revola plus loin, elle le rammena plus loin et le fit assoire. Ellel le menaca de recommencer s'il osait se relever. Il resta assis se frottant la poitrine fesant une plainte de douleur en silence.

Lestat tendait l’oreille, son regard soudainement fixé dans le vide. Sa respiration était devenue extrêmement calme, je pouvais entendre son cœur battre avec une lenteur surprenante dans sa poitrine. Sa folie avait brusquement fait place à sa raison, changements naturels chez lui

- Et depuis quand Lestat de Lioncourt a-t-il peur des autres, dis-je, sentant une rage incoercible me submerge, depuis quand? Tu te terre comme un vulgaire animal, tu fuis comme un lâche!

Il bondit si soudainement du lit que j’eus à peine le temps de réagir. Il se tenait à moins de trois centimètres de mon visage, sa main sur ma bouche. J’étais si profondément surprise que je ne me donnai même pas la peine de réagir.

- Ne parle pas trop fort, ils sont tout près! Et puis ce n’est pas pour moi que j’ai peur, c’est pour vous autres!

Il relâcha son étreinte vivement, se détournant de moi. Il sortit de la pièce secrète, se rendant devant Séran et Félix. Il gardait son calme et sa malice légendaire. Pourtant je voyais que derrière son regard d’azure chatoyait toujours la folie qu’il venait tout juste de me dévoiler.

Il s’arrêta nette devant Félix. Son regard se figea sur lui, humant sans aucun doute son sang chaud. Il n’avait jamais accepté de perdre la face devant des étrangers même si cela lui coûtait un effort de contrôle colossale. Son regard dériva sur Séran qui se tenait près de Félix, le regard bestial.

- Pourquoi avoir emmené avec toi un Lycanthrope Abigail? Tu sais qu’ils ont cette odeur perceptible à des kilomètres.

Il désigna Félix du doigt. Lestat dégageait cette aura de séduction indéniable qui charmait normalement tout mortel normalement constitué. Ses iris bleus reluisaient de folie dans cette noirceur ténébreuse.

- Tu ne m’apprends rien, lui dis-je. Il est l’ami de cette femme que j’ai rencontré cette nuit. Une Veuve-Noire, je suis de ce sang là aussi, ne l’oubli pas. Je ne pouvais tout de même pas la laisser dans ce bar infesté de Vampire, de très vieux Vampires même. Un nous a suivi, mais à vite perdu notre trace. Bref, elle représente quand même une infime partie des survivantes bien qu’elle soit également un hybride.

Lestat regardait Séran avec attention et intérêt. Il n’avait jamais connu une autre Veuve-Noire que moi. Moi qui n’avais eu qu’une minime partie de leurs pouvoirs.

- Ils ne peuvent pas la suivre à l’odeur, c’est un mélange de deux types différents. Elle pourrait très bien être deux personnes. Mais lui, il est facilement retrouvable, son odeur est trop marqué, trop forte. Nous, nous sommes inodores, nos corps ne dégagent aucune sueur, aucun parfum, ils sont morts.

Il traversa la pièce pour aller revêtir une veste de ratine de velours bleu nuit.

- Je dois repartir, pour ne pas vous mettre dans ma galère. Je vais les attirer vers l’Ouest, la pénombre me suivra. Toi, tu n’es pas assez forte pour supporter les rayons du soleil. Je sais, tu as le même sang que moi mais j’ai survécu au désert de Gobi et toi tu ne supporte pas encore très bien l’aube. Reste ici avec tes mortels, ils ne doivent pas te retrouver.

- Lestat, ils sont stupides, pourquoi ne pas tout simplement les détruire? Nous n’avons qu’à appeler les autres? Écoute, des mortels ont détruits un camp de base qu’ils avaient établi dans un petit village, ils sont vivant! Ils prolifèrent biologiquement! C’est terriblement simple de les détruire.

Son regard s’assombrit.

- Justement non, ils se reproduisent biologiquement, ils sont plus nombreux. Je te le dis, c’est Lucifer qui les a crée, ils n’ont jamais été humain, ils sont née tueur, pas nous. Je sais que leurs pouvoirs sont limités et que les notre les surpasses, mais ils ont une grande quantité d’autre démons de toutes sortes. Comment veux-tu te battre contre l’armée de Lucifer Abigail, nous sommes ses enfants aussi! Ils veulent notre sang, ils ne connaissent que moi jusqu’à présent. Notre sang leur procurerait nos pouvoirs plus les leurs. Imagine s’ils s’emparaient du sang de Maharet, de Mekare ou de Kayman? Mon sang est celui d’Akasha, la première de notre race. Je te l’ai transmit en te donnant le dont ténébreux, c'est pour çela que ça fait 50 ans que je ne suis pas avec toi, pour ne pas qu’ils te découvrent. Je me plais à défaire leurs petites troupes quand je le peux, mais je préfère me terrer.

Il tourna lentement la tête vers Séran.

- Pour ce qui est de vous Miss, votre mélange pourrait leur servir. Ça pourrait donner naissance à une toute nouvelle race. Qui sait s’ils ne vous mettraient pas en élevage.

Il s’approcha de moi lentement et m’embrassa sur le front.

- Je te reverrai, dis aux autres que je vais bien.

Et puis, il ne prit même pas la peine d’escalader la petite échelle, il s’envola.
Je baissai la tête quelques secondes, il était repartit.

- Passons la nuit ici, demain vous pourrez repartir.

Séra tenait Félix par la nuque d'une main et les poignets de l'autre. Meme s'il aurait voulu bouger il en aurait ♪0té incapable par la grande force de S♪0ran mais aussi par l'ingénosité qu'elle avait fait preuve, elle se servait de la froce de Félix pour le tenir hors combat. Lorsque les deux vampires sortirent Séran ne put s'empecher d'observer l'homme qui se tenait face a eux et qui semblait argumenter avec Abigail. Ayant entendu les quelques bribes de conversation elle en savait quelque peu sur le sujet et s'interrogeait quand meme sur "Leur" nature. Mais lorsque il lui parla que son sang ferait un interessant mélenge elle s'indignant lorsqu'il fut partit en volant.

Il n'est pas question qu'aucune chose, quelle qu'elle soit touche a mon sang! Jvais me battre et laisser Félix avant meme qu'ils m'enleve une gouttes! En voyant Félix d'agité lorsqu'elle avait parler de sa et l'avait laché elle n'eut aucun remord a lui rappeler qu'elle dirgieait entre les deux.

Séran aurait faitune bonne Alpha parmis les lycan. Mais elle n'avait sa palce nulpart alors elle se pratiquait sur Félix qui semblait accroché après elle.

Et mois je peux y toucher?

Félix, tu aura le temps de souffrire 1000 morts avant d'y toucher, personne, je dit bien personne va toucher a mons sang, non mais, le mélange que ca donnerait serait catastrophique.....

Je regardais Séran et Félix s'interposer, Séran gardant les guides. Je trouvais cela amusant de les regarder ainsi, les dominantes ont toujours besoin d'un dominé.

- Il a raison...pour toi Séran. Ça pourrait donner naissance à toute une race

Je pris place sur la chaise de style Napoléon, regardant fixement la trape du plafond. Il était partit, comme ça, aussi vite que je l'avais retrouvé. Je baissai les yeux, pourquoi me faisait-il ça?

" Marius, Louis...il est vivant."

J'espèrais qu'ils m'entendent, qu'ils me répondent. Rien.

Je regardai mon avant bras, fixant silencieusement la peau pâle qui recouvrait mes veines maudites. Qu'aurais-je fais pour qu'il soit toujours là!

- Bon...vaut mieux que je partes dans la pièce d'à côté, le soleil va se lever bientôt.

Séran regardait Abigail silencieusement, fesant taire Félix simplement par la force de sa pensé, nul besoin d'un lien quelconque, il le devinait très bien qu'elle voulait qu'il reste calme. Mais lorsqu'elle arriva pour les quittés dans la pièce d'a coté Félix ne pu s'empecher de dire:

Bonne... heu... Journée?

Puis elle partie, étant seul Séran qui semblait exasperée du comportement enfantin de son cher ami lycantrope ne pu s'empècher de répondre accompagnée d'une claque en arrière de la tete de Félix.



Crétin! Tes commentaires tu te les gardent.. non mais, bonne journée....

Puis elle prépara deux place puor elle et Félix, songeuse a la race qu'elle pourrait créer avec son sang... Une telle abobination ne devait se produire. Elle dit finalement sèchement, avant de se couché dos a F♪0lix.

Dort bien.

Félix lui qui semblait confus embarqua sur le lit puis dans un murmure adressé a Séran il fini par dire doucement:

Dort bien jeune lycanne...

Séran ne put répondre, elle ne trouvait rien a r13pondre, mais le visage caché dos a Félix elle était surprise, et confuse, depuis toujours personne ne l'acceptait, mais voila qu'un lycan la traitait de sa reace, elle une simple mélangée....Elle fini par tomber dans un someil agité et profond.

J’ouvris lentement les yeux, j’étais étendue sur le côté dans la noirceur de la pièce secrète. Je me redressai avec lenteur et engourdissement, des flots de paroles envahissaient mes pensées. Marius, Louis, Armand, Jesse, Santino et Mael m’attaquaient de centaines de questions. J’avais le cerveau en feu, l’écho de leurs paroles se répercutait avec puissance sur les parois de mon crâne. Ils m’avaient tous entendu, ils avaient même écouté notre conversation à ce que j’entendais. Marius et Louis hurlaient si fort! M’ordonnant même de le retracer, me reprochant de ne pas l’avoir poursuivit ce matin. Il m’avait demandé de ne pas le suivre…de le laisser distancer l’ennemi.

Je m’étais assise sur le lit de satin blanc. Ma vision nocturne se posa sur les marques que j’avais laissées dans le matelas mou, découvrant que la literie de neige était tâchée de sang, mes larmes dans mon sommeil.

J’entrouvris la porte cachée avec impétuosité, m’affalant avec douceur sur une des petites chaises de style Empire. Séran et Félix dormaient toujours. Séran était étroitement enlacée par Félix qui la retenait tout contre lui dans un geste tendre.

Près de la table, j’allumai une torche au mur avec ma pensée puis, l’abaissa pour laisser glisser un des tableaux de « Le Sueur » qui ornait le petit mur du fond. Une armoire de chêne teint acajou apparut lentement, vieille et délabrée. Je m’y approchai pour y dérober des vêtements propres. Une veste de velours verte émeraude moulante avec de grands boutons argent, un pantalon style équestre noir ainsi qu’une chemise blanche moulante découvrant les formes subtiles et invitantes de ma poitrine. J’attachai ma chevelure blanche en un chignon, laissant quelques mèches s’en dérobées et ma frange devant mes yeux. Je me retournai subitement vers le lit pour me rendre compte que Séran m’observait

Séran qui revait de combat et de son ancienne vie parmis les siennes ne s'était nullement rendu compte que Félix s'était approprier d'elle et elle le tenait sans rouspeter, normal elle s'était endormie. Sous son reve lourd et bruillant elle sentie une présence entrer dans la pièce ou elle et Félix se trouvait, au début elle n'avait bougée d'un cil, mais en voyant que s'était simplement Abigail elle se détendu. Elle se souvenait des paroles de l'autre vampire; elle ferait un bon mélenge, une nouvelle, race. Non elle ne laisserait pas sa, elle ne devait pas fléchir lorsqueviendra le temps et eprsonne ne touchera a son sang. Elle entrouvrit les yeux pour voir Félix nez a nez avec elle l'enlacant. Elle fit un signe négatif de la tete en le décolant d'elle lentement puis le voyant endormis elle le trouva une seconde mignion. Puis elle se leva a demi observant Abigail.

Bien dormie? Moi on peu pas dire.. Félix est un pot de colle ayutant reveillé qu'endormis...

Je réprimai un petit sourire, ajustant les manches de ma veste. Je refermai les portes de l’armoire et puis releva la torche. Le portrait reprit sa place dans un cliquetis mécanique distinct.

- Si j’ai bien dormi…je n’en sais rien.

Le sommeil d’un vampire était égale à la mort, je ne rêvais que très rarement et lorsque j’avais des rêves, j’entrevoyais le passé, ma mort, ma vie et parfois je rêvais de Lestat. Un autre visage venait me visiter parfois, celui de David Talbot, cet homme que Lestat avait également Vampirisé, qu’il aimait tant, qu’il aime tant. David me parlait parfois, me laissant voir par ses yeux les beautés multiples de la forêt tropicale ou bien du carnaval de Rio.

Je repris place sur la chaise en me laissant choir avec désinvolture.

- Vous êtes libre de partir où bon vous semble, tous les deux, dis-je dans un murmure serein et malveillant. Il fait nuit noire, aucune présence d’autres Vampires.

Je n’aimais pas retenir les gens, je n’ai jamais aimé cela. Je n’allais certainement pas retenir des gens qui risquaient de me faire repérer par des Vampires écervelés
J’aimais bien cette Veuve-Noire, elle me rappelait mes origines.

Séran aussa les épaules. Elle tourna son regard un moment sur Fglix qui dormait a point fermé. Elle sourit puis retourna son regard sur Abigail. Séran se leva tranquillement puis arrengeant sa jupe archère puis ajustant son corset bien droit elle pris ses gants sur la petite table puis les enfila. Elle était vetu de bleu électrique et de noir jais, s'harmoisant parfaitement ainsi avec ses yeux de f♥lin d'un bleu électrifiant et sa chevelure noir ébène, sefant aussi un petit contrase lgger avec sa peau d'une paleur nuageuse. Ses pupilles rondent sut a la pénombre rendait son regard amusant et d'une sériosité nulle. Mias elle ne s'en dérengeait nullement. Elle fini plutot par dire:

A tu déja entendu de ces armes fabriqués en orient? On n'en voit plus ou rarement? Qui sont disparu il y a des milliers d'années. et qui sont très difficile a manier?

Je ne comprenais pas ce que me disait Séran. Je voyais mal en quoi des armes orientales avaient un quelconque rapport avec nous.

- Non, j'ignore de quoi tu parles, dis-je tout simplement de ma voix rauque et suave.

Elle s'était levée et se tenait face à moi. Elle rajustait avec ardeur sa petite jupe d'archère, mettant en valeur ses cuisses de guerrière.

Séran eu un sourire espiègle, et fit apparaitre d'un claquement de doigt son arme singulière. L'arme au manche d'un bois noir; l'ébène venant tout droit de terre inconnues. La lame au reflet azuré, tel l'aube des matin de printemp orientaux. Cette arme en disait long sur sa provenance. Séren en fit quelque vrille dans les air style de combat oublié, mort depuis des lustre, elle avait appris a se battre d'une manière que plus personne ne connaissait.



Voici mon Naginata 夜明け Ca veut dire Aube en japonais.

Elle sourit en placant son arme en bandoulière dans son dos. Puis elle croisant le regard fatigué de Félix qui se reveillait. Il fit un léger salut aux deux femmes puis baillant une seconde ill se gratta la tete.

Le Naginata, comme disait Séran, était d’une splendeur éblouissante. Je n’utilisais pas les armes, je n’en ai jamais manié une. Je suis plutôt du genre manuelle, frappant avec mes points lorsque nécessaire. Ma force surnaturelle étant mon arme préférée.

Ses mouvements précis et la dextérité avec laquelle elle maniait son arme était tout simplement d’une singularité magnifique. Je n’avais jamais vu de mouvements si calculés et bien orchestrés.

- Jolie jouet, dis-je simplement.

Je me levai avec désinvolture, m’aventurant tranquillement vers l’escalier pour en ouvrir la trappe.

La nuit était d’une clarté remarquable pour un Vampire, probablement d’une noirceur infernale pour toute autre race. Je sortis dehors, emplissant mes poumons morts d’air frais.
Aucuns nuages ne venaient obscurcir la douce course de la lune dans le ciel étoilé. Cet astre argenté, un disque de feu blanc. Oui, c’était la pleine lune, j’adorais l’effet qu’avaient les rayons de lune sur ma peau nacrée. Je me retournai, un sourire démoniaque aux lèvres.

- C’est la pleine lune.

Elle était fière de sa lame et ne se gènait pas pour faire quelque petit tour pour montrer le style complexe de cette arme anciene otientale, au début utilisé pour le combat a cheval Séran fut la premièe a l'utiliser a pieds comme arme principale. Lorsqu'elle entendit le mot "pleine lune" et vu le regard amusé d'Abigail Séran écartilla les yeux et regarda furtivement Félix qui avait un drole d'air. Elle fit disparaitre son naginata Puis se précipita sur le jeune homme qui commencait a avoir des poils et des griffes. Elle voulu le retenir mais déja sa masse corporel doubla et son physique se tranforma a celui près du loup. Il fut un peu de grabuge et poussa Séran a quelque reprise lorsqu'il partit dehors au loin, on pouvait l'entendre hurler. Séran savait qu'il avait fait sa pour elle, sinon il lui aurait sauter dessus, une femelle a moitier lycanne ca aurait été désastreux et il ne voulait pas sa, par hazard il avait un minimum de bon sens lorsque tranformé, au grand soulagement de S♪0ran. Elle pour sa part, avait simplement les yeux encore plus lumineux dans le noir et les pupilles nétant que des gros ronds lui donnait un alure argenté mixer de bleu électrique. Elle avait des griffes, et des crocs mais rien de plus. Elle sentait simplement l'odeur très fortes de la chair et elle salivait mais elle restait calme, avec toutes ces années elle avait appris a se controler. Parlant avec difficulté elle fini par dire en se relevant après s'etre fait pousser par Félix:

C'est moins pire que d'habitude, il est asser gentil pour partir lors de la pleine lune, je ne sais pas pourquoi mon coté loup le met dans tous ses états a la pleine lune, il va revenir au matin. Mais il préfère se tenir loin de moi le temps que sa dure

Elle semblait calme, si elle aurait ♪0té totalement louve elle aurait ét♪0 surment une alpha de grand renom ce qui donnait a plusieurs male de vouloir la conquérire donc un large éventaille de danger surment la raison des départs de Félix en temps de pleine lune.

J’étais stupéfaite de voir deux loups-garous se transformer. Je n’avais encore jamais vue un spectacle pareil. Félix, devenu une bête féroce, s’était enfui au loin, s’éloignant le plus que possible de nous. Pour ma part je n’avais rien à craindre, m’aurais suffi de m’envoler pour le laisser pantois et sans recourt. Mais bon, pourquoi diable aurais-je été tiré le loup par la queue? Séran s’approcha de moi, les yeux brillants, les griffes allongées et une démarche carnassière.

- Oui, à n’en pas douter, je comprends.

Puis, je me retournai vers la forêt noire.

- Je pars par là. Vous venez ou vous partez? Je ne vous forcerai pas à me suivre.

Séran semblait a l'affut de tous son au alentour, elle entendait jusquau plus petit craquement de fueille et suivait Félix a la trace avec son ouie et l'odeur. Il était facile a reperé il se dirigeait vers un peu plus au nord qu'ou Abigial voulait aller. Elle pourra un faible gognement en aquiésant. Elle allait avertir le jeune Félix de leur destination en route elle savait comment l'appeler et d6codder les hurlement les grognement des lycan, s'♪0tait une deuxième langue pour elle, ou meme il semblait qu'elle aimait mieux cette langue qui semblait parfois plus dure, mais aussi qui pouvait erte plus douce. Sauf lorsque Félix lui grognait doucement a l'oreille qui lui donnait des frissons et il sait comment Séran déteste avoir des frissons. Alors elle commenca a sortir, encore plus agile sous sa force batarde ses griffes l'aidant a avoir plus de poigne.

Bien, Félix nous rejoindra lorsqu'e cette nuit sera terminé, je le suis a la trace en ce moment et je l'appelerait lorsque nous seront en route. ous comme les seuls a des milliers a la ronde si je l'appel je ne risque pas d'en appler d'autre aucun danger, sinon la plupart me connaissent et ne viendront aps, mais ils sont de pusisant alliés

Elle hésita un moment et puis en se retourna une dernière fois vers Abigail.

Un lycan qui chasse n'est aps des plus séduisant ni des plus subtile, si je ne résiste pas et que je trouve une orie, avis au coeur sensible la faim a la pleine lune nous controle....

Je plissai des yeux en arborant une moue défiante.

- Serait-ce une mise en garde ou une menace?

(Désolé je n’ai pas vraiment développée je n’ai pas le temps!)

Seran fit un sourir a Abigail sur la question. Séran voulait simplement dire que elle contraiement aux vampires , ne chassait et mangeait avec aucune délicatesse et aucune subtilité, et ne voulait en aucun cas offenser Abigail en la dégoutant de quelle manière qui soit

-Hum, je dirait plutot une blonne blague, car contrairement a toi moi je ne chasse pas subtilement et je ne me nourrie pas a la grande classe, meme que je me trouve quelque peu répugnante quand je mange moi meme... haha

Elle avait rit en tombant au sol sur ses pieds. a la manière d'un prédateur. Elle attendit qu'Abigial pose pied a terre, d'une manière plus silencieuse, plus vampiresque. Elles commencèrent a marcher lorsque elle sentit une présence derrière elle. Elle entendit l'atterissage qui semblait se forcer de faire du bruit et les paroles qui semblait empreinte de quelque chose... lle se retourna et regada l'homme dans les yeux. Elle et ses pupilles trop rondes qui lui donnait un air out a fait non sérieux trahissait le reste de son corps , chaque muscles tendu, près a bondir. son cerveau marchant a tout allure prète a sortir sesailes en cas de dangé. Elle cracha au bout d'un moment les crocs ressorti.

Alors il n'y a aucun inconvéniant a nous dire qui vous etes?

J’avais doucement ricané d’un rire melliflue et pratiquement inaudible, arborant un petit sourire en coin qui laissait entre voir un de mes crocs acérés. La nuit était fraiche, lumineuse, les étoiles éclairaient nos pas. C’était par ces nuits-là que l’immortalité me semblait un cadeau de l’enfer, une bénédiction maléfique. Bien que Lestat m’ai bien avertit de me méfier des Vampires issus du feu maudit, la nuit me semblait trop belle, trop ensorcelante pour me mettre sur le qui-vive. Séran m’expliqua avec précision ce que sa phrase avait voulu signifiée, nul doute que cela devait être un spectacle des plus sadiques que de voir un Lycanthrope dévorer sa proie…grandiose! Bien que les Vampires aient toujours eut de délicates techniques de chasses, adorant enchanter nos proies pour qu’elles se jettent dans nos bras sans ripostes, j’adorais parfois les déchirer, les voir agoniser avec lenteur. Lestat m’avait toujours dit de tuer les malhonnêtes, les tueurs et les voleurs. Parfois je cherchais des proies plus faciles, avec une candeur indéniable. Après tout, tant qu’à être une âme maudite à jamais, je ne le serai pas pour rien!

Dans le silence de la nuit, une odeur masculine et puissante se mit à imprégner l’air. Le temps me manqua lorsque je me retournai pour faire face à un homme au visage sanguinolent.

- Je ne suis pas venu en ennemi.

Séran prononça quelque chose, je n’écoutais pas vraiment. J’étais trop occupée à sonder ses yeux noirs qui débordaient de malice, de cruauté à l’état brute. Mon visage était impassible, mes yeux aussi. Ma peau de marbre blanc se contractait, mon corps exprimait le danger.

-…peut-être n’êtes vous pas venu en ennemi, c’est tout de même comme cela que je vous perçois, étrange étranger.

Séran elle semblait tendu. Chaque muscles de son corps s'étaient contractés, pret a bondir quelque soit la raison, mais elle attendait patiament malgré sa forte hésitation a ne pas bondir sur l'homme qui venait d'arriver. Ses yeux félin n'affichait aucune émotion, donnant a son visage un air impassible. Les griffes sortit elle huma l'air un moment. Se rappelant quelques chose. Un steak bien saignant, les bandits, un homme la sauvant puis un repas copieux.. Elle se redressa de peu. Ses souvenant du jeune homme appelé Rick... Elle pencha la tete d'un coté

Votre nom serait-il Rick par hasard?

Puis fesant un petit sourire elle se releva completement puis respectueusement elle hocha la tete en signe de respect.

Ou aimeriez vous messire que je vous nomme par votre réel prénom, seigneur des ténèbres...

Elle rit sarcastiquement.. Depuis le premier jour ou elle l'appercut elle l'avait su qu'il il était... quelque chose en lui surment avait mis la puce a l'oreille de Séran.

Je jetai un regard perplexe à Séran, voulant déceler sur son visage si ce qu’elle avait dit n’était qu’une pure et simple petite plaisanterie stupide ou si réellement il s’agissait bien là du redoutable prince des enfers. Les effluves qu’elle dégageait m’indiquèrent que non, les phéromones ne mentent jamais.

Je restais droite, impassible, immobile devant l’homme qui s’édifiait devant moi dans la noirceur opaque de la nuit. La lune faisait reluire ses dents blanches, dénudées par ses lèvres qui s’étiraient en un rictus dénué de sens, d’émotion propre.

L’homme ne parlait toujours pas.

- Princes des ténèbres…intéressant.

Je souriais, un de mes plus beau et plus sadique sourire. Un frisson de haine traversa mon corps entier alors que je sentais grimper dans mon âme une douce et grisante sensation de rage.

- Tu connais cet homme, Séran?

Demandais-je avec impétuosité, attendant que de sa bouche avide s’écoulent ses paroles.

Séran restait impassible devant le silence de l'homme devant elle. Elle laissa ses pareoles agir un moment puis lorsqu'elles furent entré en chacune des tete qui était présente a ce moment elle apppercu du coin de l'oeil la réaction d'Abigail. Un long moment s'écoula avant que Séran puisse finalement réponde a la question d'Abigail. Elle hocha la tete lentement laissant échapper un sourire mi-sadique mi-doux. Elle regarda Luycifer droit dans les yeux.

Comment vous demenderiez vous? Et bien facile, votre visage, vous gardez toujours cette expression et ces marques et votre manière d'agir, c'est trop mielleux.

Elle ria finalement et aquiésa encore une fois a l'intention d'Abigail.

Oui je le connait, une rencontre inantentdu, je me fesait poursuivre par des barbare il ma "sauvé" j'aurait pu men occuper moi meme mais joeur la dame en detresse et je commencait a etre épuisé...