" Et si je t'offrais l'éternité? "

Voilà, je vous propose une fanfiction "crossover" entre l'univers fabuleux d'Harry Potter et d'Anne Rice (* Référence au film la reine des damnés et au film entretien avec un vampire*) (*Également les divers livres "chroniques de vampires" mettant plus souvent en vedette Lestat*)

La fanfiction est principalement centré sur Hermione et Drago, puis s'en mêle de curieux vampires. Je veux votre avis, devrais-je la mettre ici?

QUOI!!!!!!!!!!!!!!!!
t en train de me dire que ya un FILM sur entretien avec un vampire!!!!!!!!!!!!! JVX TROP le voir c ou ta eu sa!!!???

Et oui il y a un film sur " Entretien avec un Vampire"!!!!!!!
On me l'a dit il y a moins d'une semaine, je suis tout aussi chambouler que toi ma belle Saskia!!
Tu n'as qu'à aller à ton club vidéo et le demander, cela met en vedette Brad Pitt dans le rôle de mon beau Louis et Tom Cruise dans le rôle de Lestat.

haha lol je l'ai apris par mon oncle les acteurs quil y avait pass y la vue et dit stai malade lol

Tout le monde était nerveux, marchant dans les larges corridors de Poudlard les uns contrent les autres. Une nouvelle attaque avait été publiée dans la Gazette du Sorcier, créant une panique générale dans la communauté magique. Tous les élèves revenaient de leur vacance d'été, rassurés et heureux de se retrouver en sécurités à l'intérieur des murs du château. Dans la grande salle, Hermione, Harry et Ron étaient assis à la table des Gryffondors, leurs voix agitées et anxieuses s'élevant discrètement pour que personne d'autre appart eux trois puissent entendre.
-Ils ont réellement frappé fort cette fois! Dit alors Harry, les yeux pétillants d'une crainte, d'une tristesse profonde et d'une détermination flamboyante. Ron, qui était assis à ses côtés, acquiesça d'un mouvement de tête qui se voulait désinvolte, mais qui en fait se révéla plutôt maladroit et saccadé.
- Oui, poursuivie Hermione, tuer Seamus et sa famille parce qu'ils ne se sont pas rendus... et ...et ce n'est pas tout, ce qui s'est produit cet été, avec les Malefoy! Pauvre Drago, je le plains...



Tragédie part dessus tragédie, l'été n'avait pas été de tout repos. Les attaques s'étaient multipliées, faisant de plus en plus de victimes à l'actif du mage noir et de ses disciples. C'était la 13ièmme familles de sorciers exécutées depuis l'été, et le collège allait organiser une cérémonie commémorative en leur honneur. Harry et Ron gloussèrent sous la mention de la famille Malefoy. Ce qui leur était arrivé était horrible, même s'ils le méritaient après tout ce qu'ils avaient fait.
- Moi je trouve que ce n'est que justice, ce qui est arrivé chez les Malefoy! Le torse bombé, les sourcils froncés et une moue désapprobatrice, Ron regarda Hermione avec un certain dédain. Comment pouvait-elle avoir de la compassion pour cette fouine après ce qu'il lui avait fait subir!
- Ron! Ne sais-tu donc pas faire preuve d'un peut d'humilité! rétorqua Hermione, courroucée. La tragédie Malefoy ne doit pas être prise à la légère, voyons! S'ils ont été capables d'assassiner Lucius et Narcissa Malefoy, deux de leurs meilleurs Mangemorts, qui sait ce qu'ils peuvent faire d'autre! Ron, tu ne comprendras donc jamais!
Harry se retourna vers Ron, en accord avec les arguments d'Hermione. C'était leur 7ième année à Poudlard, le trio ne cessait d'évoluer avec les années. Hermione avait été nommée préfète en chef part Dumbledore, la jugeant apte à se poste et lui réservant un rôle spécial qu'elle n'avait pas encore découvert.
- Ron, Hermione a raison. Tout de même, il a fait preuve d'un certain courage...même si c'est encore la même fouine. De plus, il n'est même pas au collège cette année, alors ne te plaint pas!'' Harry était plutôt devenu calme et directe. La perte de Sirius l'affligeait toujours autant et il ne cessait de répéter à ses amis qu'il aurait pu le sauver, s'il s'était retourné une fraction de seconde plus tôt.

Ron, légèrement insulté qu'Harry prenne pour Hermione, fixa la table des Serpentards sans dire un mot, plaçant ses idées noires dans sa tête. Autours d'eux, les élèves se tenaient regroupés, alliant leurs forces.

L'A.D. allait survivre cette année, avec l'aide précieuse qu'Hermione avait apportée. Elle avait convaincu le directeur Dumbledore de les laisser poursuivre leurs activités. Cela préparait les élèves à l'affrontement et surtout rapprochait les maisons. Plusieurs Serpentards avaient rejoins l'A.D., les inscriptions s'étaient faites à travers l'école entière, chaque élève avait reçu un coupon d'inscription attaché à la liste de leur fourniture scolaire qu'ils avaient reçu cet été.

Les réunions étaient maintenant dévoilées et ils n'auraient plus à se rencontrer en cachette dans la salle sur demande. Leurs réunions se tiendraient maintenant dans une salle de classe du 5ièmme étages, anciennement utilisée pour des matchs d'échec géant façon sorcier. La pièce était assée vaste, et le Trio avait déjà -pendant les deux mois de vacances- préparé un certain nombre de cour et ne cessait de s'appliquer à en préparer d'autre. Ils se partageraient la tâche, donneront des cours chacun leur tour. Ron s'était amélioré et pourrait enseigner aux autres aussi, puisque Harry et Hermione devaient s'absenter durant l'année assé régulièrement. Hermione pour son travail de préfet en chef et Harry pour ses rencontres avec l'Ordre du Phoenix. Il serrait permis cette année de se rendre à toutes les réunions, assez vieux maintenant pour participer aux débats importants. Il tiendrait Hermione et Ron au courant, adaptant leurs cours de l'A.D. en fonction des activités de Voldemort.

Hermione allait avoir beaucoup de travaille cette année, elle était le seul préfet en chef de l'école. En plus du doublement de révision qu'elle allait avoir puisque c'était sa dernière année à Poudlard, elle allait devoir également gérer l'A.D. avec les garçons. Haa, l'année allait être dure. Déjà que ses vacances s'étaient déroulées dans le plus grand des stresses!

Le début de son mois de Juillet avait été pas mal, elle était allée visiter le Québec, province du Canada. Elle avait ainsi pue comparer la culture Québécoise à la Française; elle avait été si souvent en France! Elle avait rapporté un nombre incalculable de connaissance nouvelle comme à l'habitude et avait fait déguster - Non pas sans un effort de persuasion incroyable- la Poutine, un met typiquement Québécois à Ron et à Harry à son retour. Mais encore, pendant son séjour de deux semaines, elle avait reçu quotidiennement la Gazette du Sorcier et avait suivie de près les évènements de l'Angleterre. Même au Canada, la communauté Magique était tendue. Ils avaient eut aussi des adeptes du mage noir, avait-elle découvert. Chaque région avec son groupe, ayant chacun à leur tête un Intendant du Mage, désigné part Voldemort lui-même. Dans un journal magique qu'elle avait su déniché, intitulé '' Allo magie'' elle avait pu s'informer des différents mouvements Canadiens et Américains. Elle s'y était abonnée, voyant une certaine utilité à s'informer du plus grand nombre d'information parlants des différents secteurs d'activités de la société secrète du mage noir. De retour en Angleterre, elle continuait de recevoir à chaque matin l’Allo Magie du Canada.

Mais à son retour, elle apprit de triste nouvelle. La mort de plusieurs élèves et leurs familles, la tragédie Malefoy...Le mois d'Août au Terrier avait été cruellement sombre. Ils s'étaient rendus à plusieurs funérailles de certains amis tels que la famille Parvati. Ils s'étaient également rendus au cartier général de L'Ordre du Phoenix (que nous appellerons l'OP) dans l'ancienne demeure Black pour parler des différentes mesures de sécurités qui serrait entreprises dès cette année à travers toute l'Angleterre. Le ministre Cornélius Fudge s'était entretenu avec le Premier Ministre de l'Angleterre pour discuter des nombreux problèmes auxquels serraient confrontés les deux populations. Enfin, son retour à Poudlard et sa nomination au poste de préfet en chef lui avait réchauffée le cœur.

Le dîner prit fin, et les trois compères se levèrent pour rejoindre leurs salles communes respectives. Hermione n'allait plus à celle des Gryffondor, elle avait la sienne, bien à elle. La tranquillité et la solitude qu'elle lui offrait allait l'aider à se concentrer sur les nombreuses tâches qu'elle aurait à compléter cette année.
-'' Bon, je vous dit bonne nuit'' leur dit-elle sur un ton qui se voulait neutre et contrôlé. Les deux garçons la regardèrent, choqués.
-'' Tu ne crois tout de même pas que nous allons te laisser rejoindre ta salle commune toute seule? Avec la guerre froide qui se joue entre les Serpentards et le reste des maisons. Ils pourraient très bien t'attaquer traitrement dans le dos!'' Ron avait parlé sans ménagement, impétueusement.
- Ron a raison pour une fois, nous allons t'accompagner.
- Et Giny, elle? Elle aurait beaucoup plus besoin de votre bienveillance que moi! répondit-elle sur un ton moqueur et doucereux. Harry rougit légèrement, détournant son regard pensif.
- Son nouveau petit copain s'en est chargé. Aller, on y va…

Leur trajet se fit dans le silence jusqu'à la salle commue des préfets en chefs et ils la laissèrent devant le grand portrait d'une chute apaisante; l'entrée de sa salle.
- Choco Grenouille Le cadre s'ouvrit pour découvrir une vaste pièce éclairée d'une lumière tamisée. Elle avait son bureau, ses fauteuils de velours rouges, sa cheminée, sa fenêtre avec vue sur le parc, sa chambre avec un lit encastré dans le mure, une salle de bain offrant une baignoire de la grosseur d'une piscine et il y avait, au fond, la chambre de l'autre préfet en chefs manquant. Elle se laissa choir dans un des fauteuils, soupirant. Pattenrond, tout heureux de revoir sa douce maîtresse, sauta sur ses genoux pour s'y lové, ronronnant au contact de ses doigts. Les yeux fermés, elle se délectait du doux silence qui pesait sur sa salle commune.

Mais quelque chose lui fit ouvrir les yeux, un bruit, pratiquement inaudible. Elle se redressa doucement et plongea sa main dans sa poche, agrippant fermement sa baguette en prévision. Pattenrond, miaulant pour avoir de nouveau les caresses félines de sa Hermione, sauta sur le sol et s'en alla sur un des fauteuils près du feu de la cheminée, la boudant. Hermione se leva tranquillement, se retourna pour faire face au portail de pierre dorées qui entouraient l'entrée de la salle commune part laquelle elle venait tout juste d'entrée. Ses yeux s'écarquillèrent lorsqu'elle reconnue la silhouette qui se détachait du fond obscure, hors d'atteinte du Halo de lumière que dégageait les torches. Près de cette silhouette se dressait Dumbledore, sa stature réconfortante dominant le petit coin sombre de noblesse.

- Je ne voulais pas vous effarouchez, s'empressa de dire le directeur d'une voix calme et posée, ses yeux luisant sous les verres de ses lunettes en demi-lune, mais j'ai quelque chose, une mission, à vous confier d'extrêmement confidentielle.
Sans pouvoir détacher son regard réprobateur de celui de son directeur, de son général, elle resta interdite et muette, le laissant poursuivre.
- Hermione, je vous ai choisie pour votre capacité illimitée à la compréhension et pour votre grand cœur. Ce qui sera dit entre ses mures restera entre ses mures, vous n’aurez même pas le droit d'en parler à Ron où ni même à Harry...et ce en toute circonstance.

Hermione fixait les yeux de flammes bleues de Dumbledore. La sérénité qui s'en dégageait apaisait la jeune fille. La baguette toujours dressée, elle jetait des regards aléatoires allant de Dumbledore à l'ombre diaphane qui se terrait près de lui.

Un sourire paternel aux lèvres, Dumbledore entretenait le silence qui s'était établi entre les deux interlocuteurs, laissant le temps à Hermione de formuler une phrase cohérente.
- Je vous écoute, professeur... laissa-t-elle glisser d'entre ses lèvres étroites, tendues part ce qu'elle voyait. Dumbledore s'approcha alors tranquillement d'elle, de sa démarche naturellement lente et gracieuse. Dans son sillon suivit alors un jeune homme méconnaissable.

Droit et implacable, Drago Malefoy marchait vers elle, le visage défait. L’éternelle expression moqueuse et sournoise qu'elle lui connaissait n'avait plus sa place sur ce visage rendue terne, interdit et renfermé. Ses yeux ne luisaient plus de cette sombre étincelle de malice et de mépris, mais étaient maintenant revêtus d'un linceul de remords, de rancœur et de tristesse. Le Serpentard qui se présentait devant elle n'avait plus rien à voir avec le Drago Malefoy qui l'avait tant fait souffrir, ce n'était plus qu'une carcasse évanescente d'un passé noire, un souvenir éteind.

- Avant que nous ne poursuivions, je vous demanderais de ranger votre baguette, nous ne sommes pas ici pour une confrontation. Hermione, les joues violacées, s'empressa de ranger sa baguette magique dans la poche de sa robe de sorcière.
- Je crois sans mal que vous avez dû formuler plusieurs hypothèses sur l'absence de votre homologue masculin, n'est-ce pas? demanda le professeur à la longue barbe blanche.
Hermione fit un signe de tête positif, ne détournant pas son regard interrogateur du Serpentard.
- Oui, possible... répondit-elle simplement. Sa voix était calme, comme un murmure. Ses yeux étaient grands ouverts, tentant de déceler une parcelle d'émotion dans ceux d'acier du jeune homme devant elle.

Malefoy regardait Hermione sans broncher, son visage toujours figé dans cet état d'indifférence meurtrie. Dumbledore enchaîna, les mains jointes dans le dos.
- Durant le banquet, j'ai préféré ne pas présenter Mr. Malefoy comme étant le nouveau préfet en chef, votre homologue, chargé de partagé les tâches avec vous...
- Avec moi! Coupa Hermione, courroucée. Bien qu'elle comprenne qu'il avait vécu de terribles évènements cet été, elle gardait un minimum de méfiance face à ce Serpentard qui l'avait tant blessé dans le passé. Il ne réagit même pas face à cette remarque. Il détourna le regard pour aller fixé, l'air éteind, le feu qui crépitait tranquillement dans l'âtre de la cheminée.

Le sourire de Dumbledore s'élargit alors, faisant ressortir le bleu saphir de son regard trop sincère.
- Hermione, je vous demanderai d'être indulgente, car dorénavant il participera à toutes les réunions de l'A.D. et serra au courant de tout ce qui se passe, comme vous, au quartier général de l'OP. Il est maintenant dans notre camp, Hermione. Après la tuerie au manoir Malefoy, les Mangemorts ont torturés Drago de longues heures pour qu'il se relit à la cause de Voldemort. Il a bravement résisté et à subi de nombreux sorts qui auraient probablement mis fin à la vie d'un autre sorcier normal. Mais il ne faut pas oublier que Drago est un excellent sorcier. Il a passé l'été au 12. Square Grimmaurd sous la gouverne de Nymphadora Tonks et de Kingsley Shacklebolt. Nous avons pris grand soin de lui, maintenant, je vous le laisse. Il n'assistera pas tout de suite aux dîners, les Serpentards ne seront sûrement pas très heureux de le revoir ici...

Hermione écouta le reste du laïus de Dumbledore avec attention, et lorsqu'il eut terminé, lui promis qu'elle n'en parlerait pas aux autres et qu'elle s'occuperait de monter les plats pour Drago, comme le lui avait demandé le professeur. Il quitta leur salle commune, sous prétexte qu'il devait maintenant aller rencontrer les professeurs pour leur Assemblée Générale.

Seuls tous les deux, ils se dévisagèrent un moment. Tous deux calés dans leur fauteuil, il restait dans un silence gêné, détournant le regard. Hermione ne comprenait pas réellement tout ce qui ce passait, mais savait qu'elle allait devoir faire un effort pour se montrer à la hauteur des attentes de Dumbledore, puisque c'était vers elle qu'il était venue pour cette mission; la réintégration de Drago. Il commençait à se faire tard, et demain s'annonçait une journée chargée, comme toujours. Elle se leva, s'étira et passa devant Drago pour se rendre à sa chambre. Elle ouvrit la porte et, sentant qu'elle devrait sûrement dire quelque chose, se retourna et dit d'une voix étouffée
- Je suis sincèrement désolé pour ce qui t'es arrivé. Le front plaqué contre son cadre de porte, elle regarda le Serpentard avec une certaine incertitude et de la compassion puis, se retourna pour refermer la porte derrière elle.

Il l'avait suivi des yeux jusqu'à ce que se referme sur elle la grande porte d'Ébène. Il resta quelques instants à contempler la large porte noire, avant de murmurer un faible et inaudible ''merci''